"celui qui
dort sans avoir
lu sa fraction de Coran ou une partie de celui-ci, puis qu’il
la lise entre la prière du matin et celle du midi, on la lui inscrira comme l’ayant lu durant la nuit", rapporté par An-Nassaï et d’autres que lui et il figure dans Al-Moujtabi 2/68 et dans Sahih Al-Jami 1228.
Aïcha, qu’ALLAH l’agrée, a dit :
"lorsque le Prophète, qu’ALLAH prie sur lui et le salue, faisait une prière, il
la priait constamment, et si la prière
durant la nuit lui échappait en raison d’une lourdeur à ses yeux ou d’un
mal, il faisait
douze génuflexions durant la journée", rapporté par Ahmed 6/95 ;
lorsqu’Oum Salama, qu’ALLAH l’agrée, le vit faire
deux génuflexions après la prière du milieu de la journée et le questionna, il lui répondit par ses paroles :
"Ô fille d’Abou Oumaya
tu questionnes au sujet des
deux génuflexions après la prière du milieu de la journée, (la raison en est que ) des habitants d’Abdalquaïsse m’ont empêché de faire les
deux génuflexions après la prière du midi et ce
sont celles-là que je viens de faire", rapporté par Al-Boukhari, Al-Fath 3/105 ;
Lorsqu’il ne faisait pas
quatre génuflexions avant la prière du midi, il les faisait
après celle-ci, rapporté par At-Tirmidy sous le numéro 427 et dans l’authentique d’At-Tirmidy sous le numéro 350 ;
lorsque les
quatre génuflexions avant la prière du midi lui échappaient, il les faisait
après celle-ci, cité dans Sahih Al-Jami 4759 ;
ces hadiths prouvent que
les actes de la Sounnah et les actes surérogatoires constamment faits, peuvent être récupérés ;
Ibn Al-Quaïm, qu’ALLAH lui fasse miséricorde, à mentionné
plusieurs raisons pour lesquelles le Prophète, qu’ALLAH prie sur lui et le salue,
jeûnait durant le mois de Shaban Daoud plus que durant les autres mois : la première :
il avait l’habitude de
jeûner trois jours par mois et s’il arrivait qu’il soit
occupé et qu’il ne pouvait
pas les jeûner durant des mois, alors il
les rassemblait et les jeûnait durant le mois de Shaban afin de les récupérer
avant le jeûne obligatoire "c’est-à-dire du mois de Ramadan", Tahdib sounane Abou 3/318 ;
il faisait la retraite (à la mosquée) durant
les dix derniers jours du mois de Ramadan et lorsque
la retraite lui échappa une fois, en raison d’un voyage, il fit la retraite
l’année suivante pendant vingt jours, Fath Al-Bari 4/285.
l’espoir que les
actes soient acceptés avec la crainte qu’ils ne le soient pas ; après l’assiduité dans les actes d’adoration, il faut que la personne
craigne de se les voir refuser ;
Aïcha, qu’ALLAH l’agrée, a dit : "j’ai questionné le Prophète, qu’ALLAH prie sur lui et le salue, au sujet de ce verset :
«
Ceux qui donnent ce qu’ils donnent tandis que leurs coeurs sont pleins de crainte »
Sourate 23, Al Mu’minune (Les croyants), verset 60
Aïcha dit : " s’agit-il de ceux qui boivent le vin et qui volent
",
il répondit :
"Non, Ô fille d’As-Sadik
mais ce sont ceux qui
jeûnent, qui
prient, qui font
l’aumône et qui
craignent que cela ne soit pas accepté d’eux, ce sont eux qui
s’empressent vers le bien", rapporté par At-Tirmidy 3175 et il figure dans Silsilatou As-Sahiha 1/162.
Abou A-Darda, qu’ALLAH l’agrée, a dit : "le fait que je sois certain qu’ALLAH ait accepté de moi une seule prière m’est préférable à la
vie terrestre et ce qu’elle contient,
Allahu ya'alam
Ma'salam